vendredi 26 octobre 2007

les grecs!!

« Les Grecs »
À Bucknell University, on peut trouver une scène sociale qui pourvoir les envies du système grec. La mainmise sur l’établissement, les fraternités décident quoi faire pendant les week-ends. On peut dire que les étudiants grecs ont plus autorité sur le campus que l’administration ! Pour une visiteuse qui vient d’une petite ville du centre États-Unis, c’est un environnement étrange. Il y a beaucoup de personnes qui se promènent à travers le campus entre les cours et il est apparent que la majorité du campus a décidé d’être « Grec ». Les étudiants portent des t-shirts avec les lettres de leur fraternité sur leur poitrine, et c’est évident une compétition de popularité. J’ai découvert que les fraternités ont toutes une réputation et des stéréotypes, et il a été ma mission de les catégoriser.
J’ai visité une habitation d’une fraternité populaire et j’ai été malade ! La maison, était belle à l’extérieure, mais de l’intérieure était très sale : l’odeur ambiante était une fusion de bière, de sueur, et de vomi. J’ai dit avec un frère de la fraternité :
Moi : Comment décidez-vous de devenir membre de cette fraternité ?
Frère : Euhhh…je ne sais pas. Tout le monde veut être grec…mon fraternité est la meilleure parce que nous avons les mieux fêtes et que nous sortons avec les filles les plus jolies !
Moi : Habitez-vous dans cette écurie ?
Frère : Mais oui ! On devient habituer à l’odeur nauséabonde.
Décidément, je ne comprends pas les étudiants de l’université…
D’habitude, les fraternités sont uniformes. Les frères de la fraternité habitent dans les maisons le long d’une rue qui progresse sur le sommet de campus. Comme sur la montagne Olympe, le « Frat Row » est un endroit d’où les frères règnent sur Bucknell University exactement comme les divinités rient des sujets inferieur. Si vous n’êtes pas Grec, vous n’avez pas d’importance. Donc, les étudiants de première année font un grand effort connaitre les étudiantes plus âgés parce qu’ils ne sont pas encore l’opportunité d’être grec : mais c’est plus facile pour les filles entrent les maisons des fraternités que les hommes (particulièrement si les belles étudiantes s’habillent des vêtements révélateur) pour les grands fêtes sur le week-end qui ont, généralement, un thème amusement.
Les activités quotidiennes sont prévisibles. Les membres mangent toujours ensemble à la maison pour déjeuner et dîner, et dans le week-end, ils boivent beaucoup. Les trois jours de la semaine quand les étudiantes aiment faire la fête sont mercredi, vendredi et samedi. Ces jours-là, il y a toujours une fête où on peut boire et faire de mal choix. Pour les très grandes fêtes, il est nécessaire pour la fraternité s’inscrire avec l’université. Mais, de temps en temps, les étudiants ont des ennuis : plus que jamais, la police de Bucknell University et celle de Lewisburg sont très strict quand il s’agit de mettre en vigueur les lois de boire sous l’âge minimal pour la consommation d’alcool.
L’automne, la fraternité accepte plusieurs nouveaux membres. Il y a beaucoup de rituels bizarres, mais que sont très, très secrets. Il est nécessaire pour les nouveaux membres portent une fiche pour un période de temps. Les coutumes entre les fraternités sont différentes mais, souvent, il y a des rituels pour initier les nouveaux membres. Ces rituels ne sont pas approuvés par Bucknell University, mais les fraternités répètent les traditions en secret quoi qu’il en soit.
En général, je n’aime pas la vie des grecs. Ils habitent dans la saleté, ils n’ont pas de respect pour l’administration ou la police, ils boivent beaucoup, et ils sont impudente. Chaque fraternité a sa réputation : il y a la fraternité avec des athlétiques (les hommes jouent du baseball et du football américain), la fraternité des ingénieurs et bons étudiants, la fraternité des BCBG, et la fraternité des sans alcool (il n’y a pas beaucoup de filles dans celle-là). Elles sont tout différentes, mais la vie grec à Bucknell University est une vie à laquelle je ne veux pas que mes enfants participent.

Une ethnographie d’une tribu unique et mystérieuse

Avant de commencer, je dois avertir le lecteur que les idées regroupent ici peuvent-être terribles et inquiétantes. Je continuerai à condition qu’on suspende son jugement.

Ma première expérience dans le domaine d’anthropologie s'est déroulée avec un groupe très curieux et unique: le club de l'écriture, appelé formellement . Ils se recontrent hebdomadairement le samedi pour leurs discussions au sujet d'histoires étranges dans le bâtiment Vaughan Literature. Dans cet immeuble, on s’engage à les choses extraordinaires: lire et écrire! Personne ne fait cela! Jusqu’à ce que je les rencontre, je ne vu jamais vraiment des gens si enthousiastes. Pendant un rituel quotidien, ils se parent bizarrement des vêtements normals! Quelle originalité et étrangeté!

Être un initié de ce groupe peut-être difficile et déboussolant. On trouve que les croyances sont initialement dégoûtantes, mais elles deviennent éventuellement familières. Pour moi, jusqu’ici tout va bien. Je comprends maintenant qu’il est nécessaire que quelqu’un apporte des collations pour manger durant leurs rencontres, peut-être comme un sacrifice de plaisir aux divinités de l'écriture. En fait, le chaman insiste sur ce rite chaque jour. Suivant cela, nous devons lire ou raconter des histoire. La tribu s’éneve tout de suite. Quelquefois, ils s’expriment par des gestes et des enchainements de mouvement sur leurs chaises pendant qu'ils discutent, presque comme une danse.

Quelques indigènes apportent des outils curieux qui sont appellés . Ils frappent constamment sur ces choses et des mots montent sur un écran devant eux. Cela leur donne apparemment du plaisir pourvu qu’il y ait une abondance des notes, des bons commentaires et de bonnes idées. On doit être prudent de ne pas insulter l’auteur parce qu’une dispute n’est pas amusante avec ces gens. Ils peuvent être très logiques et raisonnables, une combinaison dangereuse et parfois fatale.

La tribu consiste en 8 à 10 personnes. Tous apprécient le bel art d’écrire, particulièrement avec le genre de fantaisiste. Quelques uns sont très descriptifs et plein d’imagination, décrivant même au moindre frou-frou dans les arbres ou soufflant du vent. Bien qu'ils soient encore mystérieux et incompréhensibles. Il faut que je fasse plus de travaux sur le sujet.

J’ai découvert qu’il est difficile de comprendre leur cosmologie et leurs moeurs parce que leurs histoires ne sont que faciles à étudier, et les mondes dépeingnent dans ces histoires changent constamment. Quelles sont leurs valeurs? J’ai cru encore que j'ai pu comprendre et donc j’ai fait un petit entretien avec un membre de la tribu.

Moi: “Comment trouvez-vous le club jusqu’ici?”

Lui: “C'est une aventure très agréable à mon avis.”

Moi: “Et vous amusez-vous avec les histoires différentes?”

Lui: “Oui, et je suis enthousiaste de voir jusqu'où tout va aller.”

Moi: “Quels sont vos genres préférés?

Lui: “C’est probablement la fantaisie et le science-fiction.”

Moi: “Qu’est-ce que le sens ou la valeur que vous trouvez sur ces genres?

Lui: “Ils sont très abstraits et simplement drôle.”

Moi: “Simplement drôle? Mais, il faut que certain valeurs vous récoltiez.”

Lui: “Non, pas du tout. Ils sont juste pour bien s’amuser.”

Moi: “Je crois que non!”

Lui: “Mais oui, je parle la vérité.”

Moi: “Soit, merci monsieur.”

Quelle sorte de tribu n’a pas des valeurs ou des vérités? J’ai refusé de croire cela. Donc, j’ai décidé d’examiner empiriquement. Découvrant qu’ils aiment l’héroïsme de personnages fantastiques, j’ai trouvé qu’ils admirent courages et valeurs, et peut-être quelquefois, imprudence dans un champ de bataille. Peut-être cela est comment ils se comportent pendant des batailles dans leur passé tribal. J’ai aussi trouvé qu’ils admirent probablement ceux qui ont une imaginaire extraordinaire. Des pouvoirs de magie peuvent-être aussi estimé fort, si possible, bien que je n’ai encore vu une tel qualité chez dans personne.

Un jour j’ai écrit ma propre histoire afin que j’aie pu voir par pour moi-même ce dont il tout s’agit. À ma surprise, il était un succès. Ils ont en fait apprecé mes travaux. J’étais étonné qu'ils ont le compris parce que j’ai pensé qu’il aurait été très difficile de lire ma histoire complexe. En fait, ils étaient tellement aimables que je suis devenu un membre du groupe.

À une date qu’ils appellent “Halloween,” ils veulent s’habiller en costume ou en cape et puis raconter des histoire d'horreur dans un cimetière. Ce sera un rendez-vous intéressant que j’analyserai.

Les Ingenieurs

Alexandra Fish
Le 26 octobre, 2007
Les Meilleurs Elèves au Campus
A Bucknell, il y a une tribu qui est la plus intelligente qui s’appelle les Ingénieurs. Cette tribu a vers cinq cents membres. En général, il y a six types d’ingénieurs et chaque type est un peu différent. Ces types sont : les ingénieurs des travaux publics, mécaniques, chimiques, électriques, informatiques et biomédicaux. Avant de leur décrire, voici un petit dialogue avec un membre de cette tribu :
Moi : « Salut. J’ai quelques questions pour vous. »
Un Ingénieur : « D’accord. Demandez-moi n’importe quoi. »
Moi : « Pourquoi avez-vous décidé de devenir ingénieur ? »
Ingénieur : « Eh bien, j’adore les maths. C’est le cours que je comprends le mieux. Il y a toujours une réponse à trouver. C’est comme une énigme. »
Moi : « Bon. C’est intéressant. Etes-vous enthousiaste d’être ici à Bucknell ? »
Ingénieur : « Oui, bien sûr. Bucknell est la septième meilleure petite université privée dans le pays pour étudier ingénierie. Et la raison pour laquelle je suis ici : pour étudier. »
Moi : « Merci pour votre temps. Bonne journée. »
Les Vêtements :
Les ingénieurs ne sont pas très chics. D’habitude, les hommes portent des pantalons un peu troués avec des poches cargo. S’il était chaud, peut-être qu’ils portent des shorts en jean. Ceux-là sont à mauvais gout ; d’habitude ce sont seulement les enfants qui les portent. Ils mettent aussi des vieux t-shirts qui sont trop grands et qui ne va pas. Normalement, ces t-shirts dépeignent quelque chose à scientifique ou peut-être une plaisanterie qui n’est pas vraiment amusante. A moins qu’il y ait un événement spécial, ils s’habillent comme cela tous les jours. Dans certains cas, un ingénieur peut porter la même chose quelques jours consécutifs. S’il y a une grande occasion, les ingénieurs se parent d’une chemise de soirée avec un motif qui se blesse les yeux.
Les filles ne sont pas très différentes des hommes. Elles portent aussi des pantalons cargo et des vieux t-shirts. Elles mettent aussi des bijoux. Néanmoins, cela n’est pas très chic. En fait, les bijoux sont comme quelque chose une gosse a fait de la colonie de vacances. Quand elles doivent se mettre pour une fête, elles portent une robe en dentelle avec des manches bouffantes. Les autres filles leurs taquinent a cause de leurs robes, mais les ingénieurs ne savent rien. Elles aiment leurs vêtements. Quand on voit un indigène de cette tribu, on voit évidement qu’ils sont démodés.
L’habitat :
Les ingénieurs habitent dans une variété d’endroits. En général, cela dépend à leur année d’université. La majorité réside dans les résidences universitaires. Toutes ses chambres sont similaires. Sur son bureau, il y a un ordinateur rapide avec une souris et un clavier sans fil. Les ingénieurs possèdent toujours la technologie la plus récente. Dans ses tiroirs, on trouve beaucoup d’instruments scientifiques et mathématiques. Il y a une calculatrice dispendieuse, une boussole, des gommes, et des lunettes. Plusieurs livres remplissent les rayonnages. Les murs sont décorés avec des affiches d’Albert Einstein, Isaac Newton, et les nombres de pi. Dans le coin de la chambre, il y a un empilage de jeux vidéo. Les ingénieurs adorent les joues démodées comme « Zelda » et « Star Fox ». Quelquefois, ils créent desquelles nouvelles pour s’amuser. Alors, même si l’habitat peut changer, la chambre, elle, ne change pas ; l’une est parallèle à l’autre.
La Vie Sociale :
Les ingénieurs n’ont pas une vie sociale plus active. Un vendredi soir typique consiste à jouer à des jeux vidéo, à aller à la bibliothèque pour faire ses devoirs, ou à sortir avec d’autres membres de la tribu. Une chose intéressante que j’ai observée, c’est que les ingénieurs parlent de devoirs et de leurs cours tout le temps. Je conjecture que cela est comme un rituel de la tribu. Peut-être, avant de vouloir devenir ingénieur, vous devez être capable de parler intellectuellement des choses comme le calcul, la chimie et la physique. Le samedi, les ingénieurs se couchent tard et quand ils se réveillent, ils lisent le dictionnaire pour apprendre. Le soir, ils ne vont pas au match du football américain comme les autres étudiants. En général, les ingénieurs ne sont pas intéressés par les sports. Ils vont plutôt à la soirée des jeux vidéo dans le bâtiment de sciences au campus. Là, ils rencontrent de nouveaux amis, discutent de leur journée, et s’amusent. Je pense que c’est une bonne distraction après une semaine stressante. Le dimanche est consacré à une chose : les devoirs. Etudier est la croyance la plus important dans la vie des ingénieurs. Ils travaillent tout le jour, et après avoir finir, ils travaillent encore. C’est le rituel le plus bizarre. Je ne comprends pas pourquoi ils le font. C’est juste comme ca.
Les ingénieurs sont à la fois les gens les plus intelligentes et les plus démodés à Bucknell. Ils ne sont pas les parias précisément, mais presque. C’est une tribu intéressante avec des croyances et des rituels uniques. Quoiqu’ils ne soient pas populaires, ils sont des meilleurs élèves qui réussiront dans leur futur.

Une confrérie absurde

Lauren Cotter
26 Octobre 2007
Une confrérie absurde
J’ai rencontré un groupe des étudiants très bizarres ici à Bucknell. Ils s’appellent “le pep band.” Ils passent leur temps dans deux endroits principalement, le centre Weis et le bâtiment de musique. Il a semblé que les membres de ce groupe partent le bâtiment rarement, pourvu qu’il n’y eût pas de matchs de football américain. Ils ont des grands objets en métal, qu’ils emploient pour faire de la musique. Je pense qu’ils s’appellent “des instruments.” Quelques instruments sont très grands et font beaucoup de bruit, mais d’autres sont petits et en forme de bâton. Deux groupes distincts sont formés. Un groupe comprend des instruments de cuivres, comme les trompettes et les tubas. Ils sont plus bizarres que l’autre groupe, les bois. Chaque personne trouve une salle minuscule dans le bâtiment de musique et fait de la musique seule pendant plusieurs heures par jour. Je pense que les petites salles aident à réduire le volume des instruments. Quelquefois, il y a le bruit sec étrange, d’un métronome. Les membres se rassemblent dans une grande salle dans le sous-sol du bâtiment de musique quand ils ne pratiquent pas leurs instruments. Dans cette salle, ils parlent de choses très compliquées, comme des expressions musicales spécifiques. Ils sont très talentueux. Ils peuvent jour de leur instrument qu’ils ont la musique ou non. Clairement, ce sont des personnes avancées.
Il y a trois chefs principaux. Un des chefs est prof à Bucknell et s’appelle Phil. Il est tout le temps fou et s’amuse beaucoup. Les deux autre sont étudiants, tous les deux spécialisent en ingénierie. Le directeur principal, qui est gentil la plupart du temps, est en quatrième année,. L’autre directeur, en troisième année, est très sérieux, mais de temps en temps, il est enjoué.
Ils ont de genre d’habillé extrêmement particulier. Ils se parent de chemise de rugby bleu et orange à rayures, très chic. Les jeans sont populaires aussi. Typiquement, si le soleil brille, des personnes portent des lunettes de soleil, un chapeau de Bucknell, ou les deux. Les tennis, le choix le plus confortable, sont les chaussures habituelles.
Il y a beaucoup de rituels pour le pep band. Une tradition étrange est les faire des pompes. Chaque fois que leur équipe de football américain marque un but, ils sprintent sur la piste et font des pompes pour chaque point que l’équipe marque. C’est très amusant. Un autre rituel se produit pendant le quatrième quart du match. Quand il y a dix minutes restants, toutes les personnes font le bruit du bison, “ee-won.” La première fois qu’on l’entend, on pense que c’est très sot. Les membres de pep band adorent le troisième quart, parce que c’est leur temps libre! Quand le match commence, ils ont reçu un billet pour le petit café au stade. On peut acheter de la nourriture pour une valeur de six dollars. Typiquement, les personnes choisissent du soda et de la glace à moins qu’il fasse froid, mais chocolat chaud et la soupe sont aussi populaires. La qualité de la nourriture n’est pas excellente, mais les personnes ne sont pas exigeantes.
J’ai parlé avec un membre de pep band. « Adores-tu participer au pep band ? » Et la réponse était : « Bien sûr, le pep band est mon activité favorite à Bucknell ! » J’ai demandé pourquoi, et il a répondu: « Tout le monde est fantastique ! » Ma prochaine question : « S’il te plaît, peux-tu décrire l’initiation ? » « Chaque année, les anciens membres doivent initier les nouveaux. Oh mon dieu, les pauvres nouveaux membres! Ils doivent porter les bouteilles d’eau au stade, faire des copies de la musique pour tous les membres, et nettoyer tous les instruments. Ils doivent se sacrifier pour le bien du groupe. Mais, l’année prochaine, ils seront en charge et ils auront toute l’autorité du groupe. » La communication entre les membres est une chose la plus intéressante du groupe. Ils semblent utiliser des insultes pour converser. Ils se moquent tout le temps. Par exemple, j’ai vu une pauvre fille en deuxième année. Elle était malade, et elle a toussé beaucoup. Les membres plus âgés ont hurlé après elle pour faire trop de bruit ! Mais tout le monde, y compris la fille, a commencé à rire. Initialement, j’ai pensé que tout le monde était en colère tout le temps, mais après avoir passé du temps à leur observer, j’ai découvert que les membres communiquent de la sorte pour rire simplement.
Après avoir observer ce groupe, je peux déterminer que les étudiants de Bucknell ne sont pas tous les mêmes. Il y a beaucoup de personnalités différent qui travaillent ensemble. Chaque communauté a besoin d’un peu de variété pour fleurir.

Les ados qui aiment les jeux de baliverne - Sami Prehn

Avant d’entrer dans la salle, il faut qu’on se prépare à rencontrer des gens très différents. Ces gens sont sérieux, mais ils s’amusent aussi. Mercredi, ils ont un rendez-vous pour pratiquer leurs talents. Que peuvent-ils faire si bien? Ils savent beaucoup de faits insignifiants. Un des indigènes pose les questions, et le reste de la tribu utilisent les sonneries comme l’émission « Jeopardy » pour répondre. Les autres étudiants savent que cette tribu existe, mais ils n’ont jamais même vu un des membres. Ce n’est pas un club, mais une société secrète. Si on attrape un aperçu des rites de la société, il faut qu’on joigne la tribu, si non on disparaîtra à jamais. C’est une tragédie et un sacrifice pour les gens impliqués, mais il est nécessaire de garder la société secrète.

Si on veut joindre la société, on doit traverser l’initiation. Qu’on est dans sa première année à Bucknell ou non, on est un initié depuis deux semaines. J’ai parlé avec une initiée qui s’appelle January Franz. Je lui ai demandé : « Pensez-vous que l’initiation vaut la peine pour devenir un membre du club ? » Elle a souri et a répondu : « Bien sûr ! J’aime les faits insignifiants ! Je mourrai pour eux ! » C’est une caractère intéressante et une bonne représentation des membres du club. Ils la choisiront sans aucun doute.

Je lui ai demandé aussi : « Pourquoi aimez-vous ce club ? » Elle a répondu avec enthousiasme : « Comment peux-je ne pas l’aimer ? Il faut qu’on l’expérience afin de juger. Tu dois le joindre le groupe avec moi ! » J’ai été étonnée, mais j’ai aimé un peu l’idée. J’ai dit : « Je joindrai le club à condition que tu m’aides avec les rites et les croyances. » Elle m’a pris pour rencontrer la présidente du club sans attendre même une seconde. Elle m’a demandé immédiatement « Pourquoi veux-tu joindre ce club ? » Je n’ai pas été préparé, donc j’ai imaginé une raison et j’ai dit « Mon émission favorie est « Jeopardy » et je veux apprendre beaucoup de faits afin de puiser gagner le jeu. »

Le mercredi suivant, je suis allée à la maison du club. Il y n’avait pas beaucoup de gens, mais ceux qui étaient là étaient très excentriques. Beaucoup pensent qu’ils portent des jarretelles et des lunettes, mais ils m’ont semblé aussi typiques. Quelques-uns portent des jeans, quelques-uns portent des chemises polo. Ils sont tous différents mais normaux. Une chose qu’ils ont en commun est qu’ils sont très, très intelligents. Dans leurs temps libres, ils étudient, lisent des livres, apprennent par cœur le dictionnaire, et invente des nouvelles choses. Leurs animaux préférés sont toujours des éléphants à cause de leurs grandes mémoires. Leurs snacks préférés avant que leurs compétitions sont des bonbons parce qu’ils alimentent le cerveau. Leur idole est Ken Jennings, et leur livre préféré est son livre, « Brainiac. » Leur endroit préféré pour faire les cours est Wal-Mart à cause des achats bon marché. Ici sont quelques faits peu connus du club :

Ils ne lisent pas des livres ; ils les dévisagent jusqu'à ce qu’ils obtiennent l’information qu’ils veulent.

Oui, ils ont compté à l’infinité.

Ils ne portent pas des montres. Ils décident quelle heure il est.

Ils peuvent diviser par zéro.

À la fin, je les ai aimés, je suis restée dans le club et maintenant, je sais plus de faits que j’ai jamais pensé saurer dans ma vie.

Blogue 2- Lauren Robbins

Lauren Robbins
Communicating in Cotext
le 12 octobre, 2007
Les Nullards des arts
Je suis arrivée sur Terre il y a deux mois. Au début, j’ai passé mon temps à New York City. Mais après quelques semaines, j’ai décidé de explorer la campagne. En Pennsylvanie, j’ai cherché un lieu où je pouvais habiter. Avant du trouver un bon emroit, j’ai marché pendant trois jours. C’est comment cela que j’ai découvert Bucknell University.
Au moment que je suis arrivée à Bucknell, j’ai su tout de suite que ce n’était pas un endroit ordinaire. Le campus est extrêmement beau, les professeurs sont très intelligents, et les étudiantes sont très sympas.
Quand je suis arrivée, j’ai rencontré une tribu qui m’a adoptée. Celle du Arts Residential College. Au premièr jour, une étudiante m’a demandé “Comment vous appellez-vous?” Je lui aid it mon nom et j’ai demandé ‘De quelle tribu êtes-vous et comment vivez-vous?” Elle m’a dit de la suivre pour apprendre. J’ai dit que je le ferrais pourvu que je puisse habiter avec eux. Depuis ce jour, je les observe.
L’habitation
Les étudiantes du Art Residential College sont les indigènes du McDonnell Hall. Ils sont très chanceux d’y habiter parce que McDonnell Hall est la résidence universitaire la plus belle de Bucknell. Le Arts Residential College est situé dans les couloirs 4SE, 4SW, et 2SE. Ces nombres représentent les étages où le couloir est situé. Les lettres représentent la côté du bâtiment où le hall est située. Il y a deux halls qui sont mixtes (4SE et 4SW) et un qui loge seulement les filles. McDonnell Hall a beaucoup d’aménagements spectaculaires. Il y a deux lavaries automatiques (une pour chaque côté), deux ascenseurs (un pour chaque côté aussi), et deux chambres communes à chaque étage. Les habitants du McDonnell Hall utilisent ces aménagements tout les jours. Il y a aussi d’autres gens qui habitent au Art Residential College. Il y a les RA’s ou les Residence Assistants. Les RA’s sont des étudiants plus âgés que les freshmans. Leur tâche est de maintenir la santé et la sécurité des résidents. S’il est nécessaire, ils peuvent téléphoner à l’agence de sécurité publique. Il y a des JF’s ou Junior Fellows. Ils étaient dans le Art Residential College l’année dernière. Ils font des projets pour les heures communes et aussi les sejouner à Philadelphie et à New York City.
L’habillement
Les étudiants du Arts Residential College ont un style varié. Les garçons portent pour la pluspart, des tee-shirts et des jeans. Quelques garcons aiment s’habiller plus chic. Ils font des achats sur l’internet. Quelques filles aiment porter le teeshirt tous les jours. Mais pour la pluspart, elles sont toujours élégantes. Pour aller en classes, elles portent des jeans bien ajustés avec des chemisiers colorés ou des pulls. Elles portent aussi des bijoux commes des colliers longues et des boucles d’oreilles très cools. Pour fair du sports, elles portent des tee-shirts et des shorts (mais de belles couleurs). Pendant qu’elles paressent dans la résidence universitaire, elles portent, de temps en temps, des pyjamas et des sweat-shirts. Mais, on peut être sûr que si les étudiants du Arts Residential College doivent être sur leur trente-et-un, ils s’habilleront pour en consequence et peuvent nous impressioner.
Les rituels
Les étudiants du Arts Residential College font beaucoup de rituels dans la salle de classe et aussi dans la résidence universitaire. Il y a trois seminaries de base et les étudiantes doivent en choisir un. Il y a un cours de théâter, un cours d’histoire de l’art, et un cours d’écriture. En plus du seminaire de base Seminar, ils doivent assister au heure communes chaque jeudi soir. Pendant l’heures communes, ils font des activités variées qui explorent leur créativité. Cette année, ils ont fait du yoga, ont assisté à une pièce, ont improvisé, ont écrit de la poésie, et ont peint avec leurs dogts. Ils vont au séjours aussi. Il y a deux semaines, un roupe du Art Residential College est allé à Philadelphie où ils ont assité à la pièce Amadeus et ils sont aussi allés au musée d’art. Dans la résidence universitaire, ils font des rituels chaque jour. Pour exemple, chacque jour à onze heures du soir, quelques gens vont à la cafeteria pour un quatrième repas. Pendant l quatrième repas, ils mangent beaucoup de ceréales et de glace. Aussi, ils vont au café de la rue septième à quatres heures du matin.
Les habituants du Art Residential College sont une tribu très unifiée. Ils mangent ensemble chaques repas. Bien qu’ils soient des disputes. Ils s’occupent les un des l’autres. Je suis si heureuse de les avoir trouvés. Je continuerai de les observer et je prendrai des notes, mais en géneral, je savourerai leur hospitalité.

jeudi 25 octobre 2007

Les Tribues de Bucknell: La Fraternite de Phi Kappa Psi

Kelly Smith
Français 104
October 12, 2007
Les Tribus de Bucknell

La Fraternité de Phi Kappa Psi

Qu’est-ce que c’est ? Il y a une habitation en haut de la côte de Bucknell. C’est une grande habitation de briques et de colonnes. Chaque jour, beaucoup de garçons viennent et sortent de cette habitation. Cela semble être une tribu dont beaucoup de jeunes garçons partagent les rituels.
L’autre jour, cette habitation étaient en chantier - il y avait des garçons qui fabriquaient une grande construction de bois. Je n’avais aucune idée pourquoi ! Mais ce soir, je suis allée à l’habitation. J’entendais la musique de très loin ! Il y avait beaucoup de gens à l’extérieure de l’habitation. Les garçons portaient des vestes et des pantalons foncés avec un vêtement rayé suspendu au cou. Les filles portaient un vêtement de couleurs vives qui était trop court ! Il semble que ces gens étaient en couples – ils se tiennent la main. La grande construction de bois que j’ai vu plus tôt avait beaucoup de lampes – et affichait les mots « Bienvenue à Paris ! »
Je suis allée à l’intérieur de l’habitation. J’étais étonnée par le groupe social qui s’y trouvait. Il y avaient beaucoup de gens qui étaient trop bruyants. Quand elles entendaient au son de la musique, elles remuaient partout ! Quelqu’un m’a donné une tasse rouge – avec un liquide jaune qui a goùté horrible ! Après deux tasses, je trébuchais sur mes pieds et j’avais la tête qui a tourné! Qu’est-ce qui m’arrive ! Il semble que c’était normale pour ces gens, comme un rituel ! C’était bizarre.
J’ai trouvé un homme qui était seul. Je lui ai demandé à me dire ce qu’était cette habitation.
« Salut ! Alors, qu’est-ce qui arrive maintenant ? »
« Ah, salut ! C’est une fraternité, qui s’appelle Phi Kappa Psi. Nous sommes comme des frères... »
« Hmm... Qu’est-ce que vous faites dans cette fraternité ? »
« Nous habitons ensemble, nous mangeons ensemble, nous organisons des fêtes, comme ce soir... »
« Comment devient-on membre ? »
« Ah, je ne peux pas te dire beaucoup de cette information... Mais, les vieilles frères initient les nouveaux frères. Les nouveaux qui doivent faire ce que’on leur dit. Peut-être, un frère peut demander à un autre de lui apporter de nourriture à deux heures du matin. Ou bien, un frère peut demander à un autre de nettoyer après les fêtes. »
« Oh, c’est horrible... »
« Oui, mais ça vaut la peine en fin de compte – regarde cette fête ! »

Ma conversation avec cet homme m’a montré qui deviennent un membre est un dur processus. J’ai realisé que j’avais faim alors, ensuite, j’ai trouvé la cuisine qui était énorme ! J’ai vu un objet argenté, alors je l’ai touché – c’était très froid ! Qu’est-ce que c’est ?! Me suis-je demandé... J’ai tiré sur la poignée et il s’est ouvert ! Il y avait des cannettes avec les mots « Shaeffer Light. » J’étais curieuse, alors, j’ai ouvert la cannette et l’ai bue. Zut ! C’est la même boisson qu’auparavant ! Pourquoi est-ce que les hommes aiment cette boisson ? Elle goùte horriblement ! Cette boisson paraissait avoir un effect inconnu sur les gens. Tandis que le temps passait, les gens étaient de plus en plus bruyants. La boisson avait un effet physique et psychologique. Quelque chose deviennent bizarre – je pensais pourquoi les gens deviennent ridicules.

Je pense que cette fraternité est une idée bizarre – avec des gens bizarres, des boissons bizarres, et des fêtes bizarres... Alors, je me suis rentrée chez moi, où les choses sont normales – je bois l’eau, j’écoute la musique à un volume normale...

Les frères

Voici une tribue tres bizzare. http://www.students.bucknell.edu/mldb001/Les frères .mp3

Tribus

Emily Daniels
Français 104
Madame Dupont
Le 12 octobre 2007
Le Water-polo des femmes
Le water-polo des femmes est un sport qui est pratiqué dans une piscine rectangulaire. C’est une compétition entre deux équipes pour marquer plus de buts que l’autre équipe. Il y a quatre périodes, chacune de huit minutes. À chacun des deux plus courts côtés de la piscine, il y a un filet d’à peu près un mètre de haut et trois mètres de large. Les filets flottent sur l’eau, mais ils sont attaché au côté de la piscine pour que il ne flotte pas de l’autre côté de la piscine qui est trente mètres des loin. Les co-équipiers se passent une balle et la gardent contre l’autre équipe, pendant qu’elles essaient de marquer un but. Les joueuses peuvent toucher la balle avec seulement une main, mais le gardien de but peut utiliser les deux mains. Il y a sept filles dans chaque équipe dans la piscine quand l’horloge commence, mais il y a un moment où changer les joueuses afin que les filles aient un repos. Les joueuses ont des rôles particuliers, mais ils doivent changer de positions avec les autres joueuses. Seulement la gardienne de but reste à la même position, en face du but, pendant le match entier.
À Bucknell, les femmes qui jouent au water-polo font beaucoup de choses ensemble, et ont des rituels exceptionnels et quotidiens, comme beaucoup de tribus à Bucknell. La saison du water-polo est le printemps, mais l’équipe pratique toute l’année. Dans la morte-saison, l’équipe pratique à six heures et demies du matin deux jours par semaine et en après-midi les autres jours, mais pas les weekends. Pendant un entraînement, les filles ont le temps de soulever des poids, et le temps pour nager pour rester en bonne forme et perfectionner les techniques comme le lancer et la prise de la balle. J’ai demandé à une fille de l’équipe, Whitney Allen : « Préfère-tu l’entraînement dans la piscine ou dans le gymnase ? » Elle a répondu : « Je préfère l’entraînement dans le gymnase parce que c’est plus facile. » Il est amusant que les filles aient choisi un sport très difficile, mais elles aiment l’entrainement facile. Le samedi et le dimanche, la NCAA (le championnat d’athlétisme des universités) n’autorise pas les équipes à pratiquer ensemble, mais les entraîneurs de water-polos disent leur équipe à aller au gymnase seulement ces jours. Pendant le printemps, l’équipe pratique trois matins par semaine et chaque après-midi à moins qu’elle ait un match ou un tournoi. La NCAA dit qu’une équipe doit avoir un jour de repose par semaine.
À part pratiquer constamment, l’équipe de water-polo des femmes fait beaucoup d’autres choses ensemble. Elles sont comme un groupe social en plus d’être une équipe de sport. Presque chaque semaine, l’équipe a une fête ou elle va au dîner ensemble, où elle unisse unissent et s’amuse. Aussi, après les entraînements du matin, les filles mangent ensemble au Bostwick Dining Hall. Elles vont à beaucoup d’autres matches comme le football et le water-polo des hommes. Pour initier les étudiantes de première année, quand elles vont aux matches de water-polo des hommes, les plus anciennes peignent le visage des étudiantes de première année.
Entre autres rituels que l’équipe organise, il y a des petites réunions pour discuter des stratégies et d’autres questions qui concernent l’équipe. Les réunions se font à côté de la piscine dans une chambre d’équipe ou dans les gradins. Aussi, avant chaque match de water-polo, les filles dans l’équipe mettent leurs mains ensemble, et acclament pour Bucknell pour que les joueuses et les spectateurs s’enthousiasment. Un autre rituel qui est aussi une vieille tradition, est que les étudiants de première année doivent nettoyer l’équipement près de la piscine. Elles doivent bouger les buts et rassembler les balles. Des mœurs de manger la nourriture saine pour rester en bonne santé est aussi une forme de rituel.
La plupart des femmes dans l’équipe de water-polo habitent dans les résidences partout sur le campus. Deux des filles ont des logements à Lewisburg, et elles partagent ses maisons avec les autres filles qui ne jouent pas de water-polo. Ces maisons sont les endroits où la plupart des soirées ont lieu mais, quelquefois, les filles se rencontrent dans les chambres des résidences. Beaucoup de filles viennent de Californie. J’ai demandé à Whitney : « Pourquoi beaucoup de joueuses sont de Californie ? » Elle a répondu que, « . . . le water-polo est plus populaire dans l’ouest du pays que l’est, et qu’il est très difficile de jouer au water-polo dans les universités de l’ouest. » Plus que la moitié de l’équipe de water-polo féminin est venue de Californie.
Quand elles ne jouent pas ou ne pratiquent pas, les joueuses s’habillent comme les autres étudiants. Quelquefois, elles portent des vêtements que Bucknell leur a donnés, comme les vestes ou les tee-shirts. Quand elles s’entraînent dans le gymnase, les filles doivent porter des vêtements avec le logo de Bucknell, mais quand elles pratiquent dans la piscine, elles portent des costumes très différents. Elles portent des maillots de bain une pièce. Les maillots de bain peuvent se tendre et ils sont serrés pour que le tissu ne ralentisse pas les joueuses quand elles nagent. Pendant un match, les filles portent deux casquettes. Une des casquettes se tend sur leur tête, et l’autre, en fabrique, est dessus. La casquette du dessus a de pièces très dures au-dessus des oreilles pour les protéger, et elle a les ficelles qui attachent sous le menton.
Les filles dans l’équipe de water-polo forment une équipe sportive et un groupe social très intéressant et unique. Si un martien vient à Bucknell et regarde un match de water-polo, il pensera que c’est très étrange, mais les filles dans l’équipe ne pensent pas cela et s’amusent tout le temps. Bien que les filles aiment jouer au water-polo, il est très difficile à être dans une équipe sportive à Bucknell parce qu’il prend beaucoup de temps et les étudiants doivent trouver le temps à étudier aussi.

Les Frats Sont Foiles

Dès que je suis arrivée à Bucknell j'ai découvert la vie intéressante des fraternités sur le campus. La vie grecque est très évident et elle est la vie sociale du campus. Si vous voulez aller à une soirée le week-end, vous danserez à une fraternité jusqu'à le matin. Les garçons dans les fraternités sont intéressants comme les fraternités elles-mêmes. Il est une culture propre que vous pouvez seulement trouver sur un campus d'université comme celui de Bucknell.

Afin de comprendre entièrement une fraternité vous avez besoin de comprendre l’ habitation de Frat. Il y a 12 fraternités à Bucknell et elles et réservaient leur habitation seulement aux membres de cette orginisation. Tous les garçons dans une fraternité s'appellent « frères » et tous vivent ensemble, font la fête ensemble et d'autres choses.

Le type d'activités qu'ils font dépend sur la frat. Ils sont tous requis d'organiser des activités pour le campus, telles qu'une soirée de jeux ou une soiée de film. Ils sont obligés de faire le service communautaire. Ce pour quoi ils sont bien connus est leurs fétes. Tout les frats a au moins une fête très grande chaque semestre où l’on danse beaucoup.

Je suis allée à une de ces fêtes et elle était étonnante. Je n'avais jamais vu quelque chose comme ces fêtes. La première chose que vous notez est qu’il y fait chaud. Tout le monde danse et la transpiration et la chaleur est partout. Tout l’école est plein de Natty Light. Certains gens boivent et c'est toujours Natty Light. La Natty Light est la bière bon marché que vous trouverez le plus sur le campus. Les frats ont des petites scénes aussi établies sur laquelle vous pouvez danser avec des amis ou avec un homme. Quand j'étais à une de ces fêtes, j'ai décidé de rencontrer un des membres dans au frat avec qui j’ai dansé et que j’ai interrogé au sujet de la vie dans une fraternité.

Andrea : Aimez-vous votre frat ?

Le frère: C’ets la meilleure période de ma vie. J’aime les frères et nous trouvons toujours une manière de s’amuser.

Andrea : Comment décririez-vous votre frat ?

Le frère: C’est juste un groupe de gens qui ont des intérêts communs et qui veut faire partie d'un groupe qui les soutiendra. Une croyance semblable nous unissent ensemble.

Andrea : Aimez-vous danser ?

Le frère: Je n'aimais jamais danser avant de devenir un frère parce que je étais toujours embarrasé et, sans la frat, je ne pense pas que je danserais jamais. Je danse maintenant et je me sens confortable parce que tout le monde danse et personne ne s’inquiète plus si vous êtes bon danseur ou pas.

Andrea : Pourquoi avez-vous décidé de joindre une frat ?

Le frère: J'ai beaucoup d'amis et être accepter.

À la fête ils portent des costumes très intéressants liés à un certain thème. Parfois ce sont des vêtements de Noël ou un uniforme de l’armée. La pluspart du temps ils sont très chic. Beaucoup s’habille très preppy ou de manière sportive. À moins qu'ils soient démodés, ils se dressent comme la plupart des Bucknellians.

Avant qu'un homme décide quelle frat il veut joindre la frat doit l'accepter en tant que membre. Il visitera tout les frats pour voir et alors il décidera laquel il aime et celle qui a les mêmes intérêts. À condition d’être accepté, il entrera et deviendra un frère. Après y être entré que lui doit faire certain choses qui lui prouvent sa fidélité à la frat et, seulement à ce moment il n'est plus connu comme « pledge » mais en tant que frère officiel toute la vie. C'est une sorte d’initiaté dans laquelle certains rituels sont pratiqué année après année. Chaque membre doit passer par ces rituels pour devenir membre.

Il y a beaucoup de stéréotypes au sujet des frats, mais ils ne sont pas toujours vrais. En réalité ce n’est pas comme ils sont dans les films, bien qu'il puisse être quelques similitudes. Ils ne sont pas toujours ivres, mais ils boivent. Ils ne sont pas touts beaux mais certains sont très beaux. Vous devez voir une fraternité à vous-même avant de juge.

Après avoir vu ces frats je ne les oublierai jamais. Elles constituent une culture et un groupe social unique. Pour elles, L'alcool est le boire favorite des gens. La vie en fraternité est comme aucune autre !

Blogue II

Les « Joueurs »

Les garçons dans le collège d’art forment un groupe très intéressant parmi les étudiants à Bucknell. Ils vivent au McDonnell, une habitation de quatre étages et quatre annexes (ils vivent au quatrième étage au sud). Les étudiants de Bucknell appellent ce bâtiment « Hôtel Bucknell », parce que c’est la meilleure habitation et plus nouvelle. Il y a deux garçons par chambre, et ils résident dans une chambre sur deux (les filles dans le collège d’art résident dans les autres).

Ils passent beaucoup de leur temps dans les salles communes, a jouer aux des « jeux vidéos ». Je pense que ce sont des petits films dont les joueurs changent l’intrigue : de plus ils font une bataille avec les autres en utilisant les divers personnages. Ils jouent à Nintendo, à GameCube et à Playstation, qui sont des systèmes de jeu vidéo. Il y a beaucoup de jeux pour jouer sur ces systèmes, et chaque jeu a beaucoup de niveaux. Quelquefois, il semble qu’ils passent leur vie entière devant une boîte noire qu’ils appellent « télévision ». Ils en sont si obsédés qu’ils envisagent d’être des personnages de « Mario Brothers » (un des jeux) pour Halloween ! (C’est une fête où des enfants et aussi des étudiants se déguisent et demandent des bonbons.)

Ils portent des habits différents. Quelquefois, des t-shirts qui disent « I ♥ Vagina ». Je n’ai pas compris pourquoi, mais après beaucoup de questions, j’ai une réponse : ils sont pour le groupe de « V-Day ». Intéressant, non ? Aussi, ils portent des t-shirts de guitares ou de groupes de rock. Je pense qu’ils adorent la musique. Un garçon a une ceinture rose vif ! C’est très amusant, mais elle ne se harmonise pas avec ses cheveux rouges. Ils portent des shorts de sport souvent, même quand ils ne jouent pas d’un sport ! Et ils portent des baskets chaque jour.

Pour manger, ils vont au Bostwick (la cafétéria où beaucoup de premier années mange parce qu’ils ont acheté des plans de repas pour ce restaurant), ou quelquefois à le Café du septième rue pour acheter des laits frappés. Ils obtiennent beaucoup de plats à chaque repas ! Je ne comprends pas comment ils ne prennent pas de poids bien qu’ils mangent plein de nourriture! Ils se nourrissent aussi de quelque chose qui est orange qu’ils appellent « Easy-Mac ». Ce sont des macaronis et du fromage qu’on frappe et on cuit pendant trois minutes. Ingénieux, non ? Et ils boivent beaucoup de Dr. Pepper, un type de soda. (Un garçon construise une chaise avec les cannettes vides !)

Ils ne se lèvent pas avant midi le week-end, parce qu’ils ne se couchent pas avant trois ou quatre heures à matin ! Ils aiment faire la fête. Donc ils font aussi des siestes pour pouvoir traverser la semaine de cours. Pourquoi traitent-ils leur corps comme cela ? On ne sache pas pourquoi—c’est un mystère.

Aussi, ils regardent des jeux de sport sur leurs boîtes noires ! Le base-ball maintenant, mais ils m’informent que c’est beaucoup d’autres, sports comme le football américain et du hockey ! Chaque garçon a une équipe favorite, et il l’encourage d’une voix forte pendant les jeux. Ils portent aussi des vêtements qui expriment leur préférée sportive.

J’ai posé des questions à un garçon : « Pourquoi aimes-tu les jeux vidéos et le sport ? » Il m’a répondu : « Ce sont des passe-temps très amusants ! J’aime passer quelques moments à jouer. Aussi, je m’entends avec mes amis et j’exerce le cerveau et les mains. ». Je ne sais pas pourquoi il ne va pas au gym tout simplement ! Les garçons dans le collège d’art sont très étranges. Donc, je lui ai demandé : « Un jour sans nourriture est-il possible pour toi ? » Il m’a répondu : « Non ! J’aime trop de nourriture pour ça ! Comment puis-je abandonner mes bouffes favorites, comme le bœuf, les hamburgers, les pâtes, et le gâteau ? J’adore ma bouffe. ».

En conclusion, ces garçons aiment les jeux, les fêtes, et la nourriture (et, je pense, les filles). Ils jouent beaucoup et ils travaillent un peu, mais ils sont heureux.

mercredi 24 octobre 2007




La Tribu qui vénère la tête bronzée

Je viens d’étudier une tribu qui vit dans une étendue sauvage et désolée au Pennsylvanie, dans un quartier s’appelle « Bucknell. » Au moins dix tribus y habitent. Beaucoup d’Anthropologues doutent que la tribu que j’ai étudiée est vraiment différente des autres tribus, ou qui manquent des traditions pour être reconnu qu’elle est, en fait, une tribu unique. Mais, après les avoir étudié pendant deux mois, j’ai trouvé que les membres ont des traditions sociales et religieuses très complexe qui les autres Anthropologues n’ont pas vu dans les autres tribus du pays Bucknell. Cette tribu s’appelle le « Bucc.»

Premier, j’ai trouvé un membre de la tribu qui parle anglais pour mieux comprendre la tribu. A ma surprise, le premier homme de cette tribu que j’ai reconnu, qui s’appelle Alex, peut parler anglais. Il m’a dit que tous les autres membres de la tribu parlent la langue aussi, mais ils ont un vocabulaire spécifique. J’ai commencé à poser des questions sur les aspects culturels de cette tribu, mais il m’a dit que le meilleur moyen de voir la tribu pendant leur rencontre hebdomadaire, chaque lundi, à condition que j’emmène un cadeau traditionnel pour la tribu.

J’ai emmené mon cadeau- un sac des pretzels- que le chef de la tribu l’a reçu heureusement. Dans ce rencontre, il y a 32 membres de la tribu, alors qu’en tout, il y a plus que cent membres dont la plupart des membres sont des hommes, (mais au moins un tiers sont des femmes.) Les hommes portent des polos avec des cols sautes et des shorts aux couleurs vives comme le jaune et le rose: comme des preppies. Cette tribu habite un peu comme une autre tribu dans cette région. Il y a deux hommes qui portaient des autres vêtements qui ont accepté par les autres membres de la tribu qui portait la coutume traditionnelle. Les femmes porte des jupes et des polos, aux les couleurs vives aussi. Les membres se sont assis dans un demi-cercle, avec le chef et ses assistants au centre. La cérémonie a commencé a vingt et une heure quand le Chef, qui s’appelle Nicholas, dite « Taisez-vous ! » La tribu a devenu silencieuse. Il a salué toute la tribu, et il a produis de sa poche un petit statue en bronze.

Tout le monde le regarde avec respect, et ils parlent entre eux au sujet de cette statue. J’ai demandé à Alex la raison pour laquelle le chef porte cette statue, mais avant qu’il a peut m’être répondu, le chef parle « Pour les nouveaux membres » (je devine qui la tribu n’est pas une chose héréditaire, mais basée sur les idées des membres)« Voici la tête de Ronald Reagan Head» (Je pense que c’était un statut, un objet avec beaucoup d’importance religieuse- « Trois années au passant, nous l’avons gagné de YAF, le fondation pour les jeunes américains, pour nos travail. Si tu peux le voler, et tu peux enfuir la salle, tu gagneras nos respect sincère. » Un membre de la tribu, avec des short vert et un polo rose, a crié « J’aime Ronald Reagan!» et tout le monde a dit leur accord. J’ai décidé à ce moment que j’ai du étudier « Ronald Reagan. »

Le reste du rencontre n’était pas intéressant comme ce discours, mais important pour comprendre leurs activités. Ils ont parlé de l’élection présidentielle aux Etats unis : c’était une conversation qu’ils ont eu souvent, j’ai été dit par Alex. Le Bucc est fascine avec les politiques et les économiques, et la tribu est à droite du spectre politique. Beaucoup des membres de la tribu ont participé à la conversation, mais, beaucoup autres ne comprennent pas ce qui s’est passe. Lentement, j’ai réalisé qu’il y a une hiérarchie plus complexe que le chef et ses assistants : Celle de l’instruction. Il existe aussi une différence qui n’a rien de « hiérarchique »: des moyens de penser. Un type pense que les droits et les libertés sont plus importants que la guerre contre le terrorisme, et un autre qui pense que la guerre contre le terrorisme est le plus importante. Après avoir parlé pendant trente minutes, ils ont commencé à discuter sur leur prochaine célébration. Cette célébration, tenant chaque 9 novembre, fête la destruction d’un mur en pierres dans une ville de l’est de l’Allemagne. Je ne comprenais pas le raison pour laquelle une tribu dans le Pennsylvanie s’est intéressée à une ville en Allemagne. Après, les membres de la tribu est partie, chaque sous-groupe comme les intellectuels ou les assistants du chef restaient ensemble. Je suis resté pour parler avec leur chef, qui parle anglais aussi.

Moi : Pourquoi choisissez-vous le nom Bucc ?

Chef Nick : Non, ça n’est pas Bucc, c’est quatre lettres pour Bucknell University Conservatives Club.

Moi : Ah, bien, c’est trop clair… Avez-vous des autres célébrations comme le 9 Novembre ?

Chef Nick : Oui… chaque été nous mettons trois milles drapeau dans l’herbe près à LC (un bâtiment au centre de la vie de toutes les tribus dans la région de Bucknell), nous vends des fleurs pour le jour de saint-valentin, et nous invitons les orateurs sur les politiques.

Moi : Vous débrouillez-vous bien avec des autres tribus ?

Chef Nick : Tribus… ? les autres clubs ?

Moi : Oui (notez que dans leur dialecte, le mot « tribu » est « clubs »)

Chef Nick : Assez bien, mais, parce que nous discutons les politiques, il y a des disputes.

Moi : Quand vous partiras vôtre rôle de chef, qui serais le prochain chef ?

Chef Nick : Je ne sais pas… nous avons des élections présidentielles chaque hiver, le club peut choisir un nouveau président dans cette élection.

Moi : Merci beaucoup Chef Nick.

Chef Nick : De rien.

J’ai seulement commencé à étudier le BUCC, et leurs idées sont très intéressantes et peut-être, controversé. Si on veut en apprendre plus sur le BUCC et beaucoup d’autres tribus de Bucknell, on peut achète mon livre Les Tribus du Bison, qui serai publier cette hiver.

lundi 22 octobre 2007

Une tribu unique: les acteurs de Bucknell

Bonjour, je m’appelle Zolter et je viens de Jupiter, et aujourd’hui, je vais sur Terre. Je suis un étudiante très intelligente à le Universite de Jupiter, et je me spécialise en anthropologie. J’obtenirai mon diplôme à condition que j’écrire une dissertation au sujet des moeurs d’un groupe. J’ai choisi d’étudier un groupe social de Bucknell Université, une université très charmante à Lewisburg en Pennsylvanie. Je vais , avec mon équipe d’ethnographes, étudier cette tribu unique de Bucknell, les acteurs , aussi appelé les comédiens. Pour perfectionner mon anglais, je vais parler seulement anglais jusqu’à ce que je revienne. Donc, vous alliez avec moi sur Terre pour visiter le jolie campus de Bucknell Université!
Ma première constatation sur les acteurs est leur habitat. Je vois que bien que les acteurs habitent dans des maisons differentes, toutes les maisons ont les mêmes caractéristiques. Les étudiants les appellent “ résidence universitaire”, et dans chaque résidence, il y a seulement des salles de bain et beaucoup de chambres à coucher! Que c’est bizarre! Il n’y a aucune salle à manger, ni cuisine, ni salle de séjour, et les acteurs qui habitent dans la résidence ne sont pas eu famille! Mais, c’est une planète différente et j’ai l’esprit ouvert, donc, j’ai demandé à un acteur, “ Avec qui habites-tu, et quel activités fais-tu chaque jour?”
Un des acteurs, un grand garçon de 18 ans, a les cheveux bruns très courts, et il se pare de fenêtres devant ses yeux, et de vêtements qui sont trop grands. Il est habillé comme l’as de pique, avec une habillement de couleurs différentes, bleu et orange. Il est nécessaire qu’ il porte une corde de vache nommée “ceinture” pour ne pas que son pantalon tombe par terre! Mais, parce que il est acteur, il change de vêtements plus de vingt fois par jour lors de “la répétition”!
Il dit: “Bonjour, je m’appelle Charlie. J’habite avec un autre acteur, Bob, qui est mon camarade de chambre. Chaque jour, je me réveille à 6h30, et je mange le petit déjeuner avant d’assister à un cours d’art dramatique. Après le déjeuner, je vais au théâtre pour la répétition.”
“Oh,” dis-je, “C’est très intéressant! Aimez-vous bien la répétition? Puis-je aller à la répétition avec vous?”
Il a dit: “Oui”. Donc, je vais avec Charlie à la répétition. Quand nous arrivons, je suis bien reçue. Alors, il m’a présentée au chaman de le théâtre qui s’appelle “ metteur en scène”. Ensuite, la tribu des acteurs ont initié un ritual très bizarre. Chaque indigène se pare de vêtements dépassés (“les costumes”), et ils mettent de la peinture(“le maquillage”) sur leur visage, comme des bouffons! Charlie m’explique que les acteurs jouent un rôle différent de chaque pièce. Aussi, j’ai crié, “ Pourquoi avez-vous tuer votre ami?”, après qu’ il a frapperait son ami et lui a donnerait un coup de couteau. Mais j’ai vu que son ami n’était pas blessé et que le sang était faux!
En résumé, j’ai terminé ma visite de Bucknell après que j’avoir assisté à la pièce de Charlie. Je suis allée à un grande théâtre et il y avait beaucoup de personnes habillé de manière très intéressante comme Charlie. Les garçons portaient des tailleurs comme des pingouins, et les femmes était très grandes parce qu’elles portait des talons hauts! Le spectacle était très alarmant. J’ai pensé que quelques personnes étaient tuer, ou qu’ ils étaient des animaux, mais en réalité, ils étaient vivants et humains. À la fin, touts “les spectateurs” ont sifflés et ont frappés des mains. Les acteurs ont marché sur la scène ensemble, et ensuite, “les spectateurs” ont sifflé et ont frappé dans leurs mains de plus en plus fort! Les acteurs ont quittés la scène, et “les spectateurs” s’ont levés et ont continués à frappent et à sifflent. Parce qu’ils ont étés très ennuyés, et parce que les spectateurs leur ont donnés de l’argent, les acteurs ont marchés sur la scène encore et ils ont faits la révérence.
Après le spectacle, j’ai rejoindu Charlie et nous avons parlé de la pièce. Il m’a invitée à une soirée pour les acteurs, j’y suis allée avec lui! C’est très génial. Touts les acteurs ont bavardés et ont écoutés à une boîte ( la radio) que fera la musique! C’est super!
Néanmoins, à la fin de le jour, c’a été nécessaire de revenir sur Jupiter. J’ai dit “Au revoir” à Charlie et aux autres acteurs, et avec mon équipe d’ethnographes, j’ai sort. Je pense que la tribu des acteurs de Bucknell est unique et intéressante, et je suis très enthousiaste à l’idée d’écrire ma dissertation au sujet des moeurs! “Merci, acteurs de Bucknell, merci!”