dimanche 18 novembre 2007

http://www.students.bucknell.edu/mldb001/banlieues.mp3
Ma vie dans les banlieues

Je suis une habitante de la banlieue, et je veux le rester pour la majores partir de ma vie, mais quand j’étais jeune je voulais habiter à la campagne près de la mer. J’habite à Chevy Chase au Maryland juste à l’extérieur de Washington, D.C., mais quand j’étais jeune mon père, ma mère mon petit frère et moi allions à la campagne près de la mer chaque été. L’oncle de ma mère habitait au Stonington au Connecticut, dans une grande maison blanche avec des volets verts. Il n’avait pas de télévision ni d’ordinateur, mais il avait un grand jardin avec beaucoup d’herbe ou nous jouions et la plage était au bout de la rue. Stonington était l’endroit le plus paisible du monde. Quand nous y étions, nous allions à la pêche, nous nous promenions sur la plage, nagions, prenions des bains de soleil, et nous nous amusions bien. Une fois, nous avons fait un pique-nique dans un champ près de la maison. Malheureusement, je me suis assise sur du bois ou se trouvait une ruche et les abeilles m’ont piqués plusieurs fois. Je me suis foulé la cheville en essayant de m’échapper.
J’adore cette maison à la campagne près de la mer, mais je ne peux pas y habiter. La dernière fois que j’ai visité Stonington, je me suis ennuyée après deux jours. C’était trop tranquille. Quand j’étais jeune tout étai amusant, mais maintenant il n’y a pas assez de distractions. J’ai besoin d’une cité animée pour m’amuser, donc j’aime les banlieues. J’aime enlever mes enfants à la banlieue parce que je peux prendre le métro et aller en ville en moins de vingt minutes. Je peux marcher pour faire des courses ou faire de shopping à un grand magasin, mais il n’y a pas la circulation, comme dans la ville.
Quand j’étais jeune, chaque dimanche après l’église, mon père, mon frère et moi allions au centre-ville de Washington. Nous flânions dans les rues avant le mall. Nous fréquentions les musées d’art, nous mangions aux restaurants différents, et après nous visitions le carrousel. Nous nous amusions bien, et j’apprenais les leçons de la vie aussi. Pendant ces journées à la cité, nous avons vu des sans-abris et des mendiants. Depuis un jeune âge, je comprends qu’il y a des personnes pauvres et qu’il faut que j’apprécie ma vie. J’aimais beaucoup ces aventures à la cité, mais elle me donne peur aussi. Il y a beaucoup de bruit, de crime et de pollution. C’est sale aussi.
J’aime les banlieues américaines parce qu’on peut avoir la vie culturelle que la cité offerte. On peut facilement visiter les musées, les concerts, ou les boîtes de nuit comme en ville. La cité est importante pour l’éducation culturelle mais aussi pour l’éducation au sujet de la nature humaine. Je veux que mes enfants apprennent les mêmes leçons que moi quand j’étais enfant. Les banlieues sont près de la cité, mais elles sont près de la campagne aussi. Je pense que la campagne offre une tranquillité qui est bonne pour la santé. Il est important d’aller à la campagne de temps en temps pour se reposer et méditer. Aussi j’espère que mes enfants y trouvent les mêmes plaisirs, par exemple la joie qu’on a après d’attraper un poisson. Mais surtout, j’aime les banlieues parce que je peux imaginer mes enfants jouer dans notre grand jardin vert et rendre visiter aux enfants du quartier. Peut-être que je veux habiter en banlieue et y enlever mes enfants parce que j’aime ma jeunesse en banlieue et que je veux faire la même chose pour mes enfants.

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