vendredi 2 novembre 2007

Thomas Fersen-L'Expert de la langue

Ballado

Un poète, un compositeur, un musicien: Tous ces titres décrivent Thomas Fersen, un chanteur populaire en France qui est né à Paris le 4 janvier 1963. Son père écoutait la musique classique et sa sœur écoutait les groupes anglais, mais Fersen dés son jeune âge aimait les chansons paillardes. Il aimait ce genre de musique parce que ses règles d'écriture lui paraissaient. Quand Fersen a eu 14 ans, sa mère lui a donné sa première guitare. Peu après, il a fondé un groupe de punk, est puis un second, avant de fonder Figure of Fun. Mais ces groupes n’ont pas duré.

Fersen a obtenu un diplôme de collège et il a travaillé pour une entreprise. Ensuite il a fait son service militaire. Mais tout cela en continuant d’écrire des chansons. En 1986 (mille neuf cent quatre vingt six), il est allé au Amérique de sud. Quand il est revenu, il a commencé à travailler pour une société d'enregistrement. Mais il avait une passion pour sa musique, alors les soirs il jouait de la musique dans les bars et sa femme accompagnait au piano. Son dur travail a valu la peine et en 1988 (quatre vignt huit) il a été accepté par Vincent Frerebeau, un employé d’un société du disque. Ses premiers singles n’ont pas eu de succès mais il a continué à écrire et à développer son style unique.

En 1993 (quatre vignt treize), il a sorti son premier disque, Le bal des oiseaux. Ce disque a eu beaucoup de succès ce qui lui a valu d'être invité à chanter festivals musiques, dont le Festival des Francofolies à La Rochelle et les Francofolies de Montréal.

L’année prochaine, en 1994, Fersen a remporté le prix de « Le Meilleur Nouveau Venu de l’Année » aux « Victoires de la Musique ». Pendant l’année, il a continué à écrire et composer pour son deuxième disque. Il a commencé à enregistrer en 1994 (quatre vignt quatrorze) et en avril 1995, il a lancé Les Ronds de Carotte. Ce disque a eu beaucoup de succès aussi et alors il a été en tournée nationale. A la fin de la tournée, il avait fait plus que 150 concerts. L’année prochaine, il a enregistré son troisième disque Le jour du poisson, lancé en 1997. Fersen a lancé 6 disques depuis 1997. Il continue d’écrire et chanter eu concert. Sa chanson « Au café de la paix » du disque Les Ronds de Carotte est devenue populaire.

En utilisant le café de la paix, ce café célèbre en Paris, Fersen leurre les auditeurs parce que beaucoup d’entre eux le connaissent. La chanson est racontée du point de vue d’un homme qui attend une femme au café de la paix. L’homme raconte l’histoire au présent alors la situation semble réelle. Mais l'utilisation du futur et la répétition de « on ira » signifie que l’histoire est une fantaisie, une mémoire qui n’existe plus. Par ailleurs « On » est plus vague que « nous », alors ce qui donne l’impression que la femme ne va pas le rencontrer.

Fersen alterne le nombre de vers dans chaque strophe, qui varie, de 8, 4, 8, 4, 8, 4, 7, 4, 4, 4. Le numéro quatre est répété toutes les deux lignes, mais les nombres entre quatre change-ils sont réduits. Alors, ça peut signifier que le narrateur commence à réaliser que sa femme ne vent pas. Le nombre entre quatre reflète son enthousiasme. Quand le nombre est réduit, son enthousiasme est réduit aussi en raison de voir la réalité.

Fersen utilise des contraires aussi. La deuxième strophe est « Je poserai mon journal/sur le bar devant moi/je poserai mon journal/tu me reconnaîtras » et une strophe à la fin de la chanson est « Je pose ce qu’il me reste/sur le bar devant moi/Trois clous et un bouton de veste/Tu ne me reconnaîtras pas ». Les deux strophes sont similaires, mais la quatrième phrase est la plus importante. Pendant le commence de la chanson le narrateur croit qu’elle le reconnaîtra, mais à le fin, il croit le contraire. Ça signifie qu’il se rend compte la réalité. Mais parce qu’il croit à la commence qu'elle reconnaîtra, cette phrase signifie que ils avaient rendez-vous au Café de la paix. Mais au présent, ils ne sont pas un couple. Le narrateur se souvient de passé.

Dans la strophe finale, Fersen utilise une métaphore et donne la conclusion, « La nuit étreint le ciel/La nuit étreint le ciel/Allez, mon rossignol/La vie est belle ». Alors, la fin de cette chanson est satisfaisante. L’auditeur est présenté par une image d’un beau ciel le soir et l’homme laisse partir la mémoire de sa femme et il est heureux-« La vie est belle ».

Cette chanson a la combinaison de la bonne musique et la signification aussi. La mélodie est optimiste et elle a un ton agréable mais les paroles racontent une histoire de l’amour perdu. Fersen est un poète alors il choisit les mots prudemment. Avec cette chanson, il montre qu’il est possible d’être heureux après avoir perdu l’amour. Il inspire les auditeurs et vous voudrez l’écouter continuellement.


Les Paroles de "Au Cafe de la paix"

Rendez-vous
À la brasserie
Du café de la paix.
Je t'attendrai.
Je porte un feutre
De couleur neutre
Et mon pardessus
N'est pas brillant non plus.

Je pose rai mon journal
Sur le bar devant moi.
Je pose rai mon journal,
Tu me reconnaîtras.

Si t'es en retard,
Passé le quart
Je prendrai un demi
Pour noyer mon ennui.
Si t'est en retard,
Jusqu'au soir
Je prendrai un sérieux
Pour le noyer mieux.

Je plierai mon journal
Sur le bar devant moi,.
Je plierai mon journal.
Tu me reconnaîtras,
Lalala.

On ira
Où tu voudras.
Tu me prendras le bras
Comme autrefois.
On ira voir note rue,
Notre chambre au sixième.
Tout ça n'existe plus
Mais on ira quand même.

L'annonce dans le journal
Est paru il y un mois.
Si tu lis ce journal,
Tu te reconnaîtras,
Lalala.

On ira voir la Seine
Et le coeur de Paris...
Ma maison de carton
Au pont Marie...
On ira voir ailleurs,
On ira faire fortune...

On ira voir ailleurs
Parce qu'il est l'heure.
Les chaises sont sur les tables.
C'est la fin de la fable.

Je pose ce qu'il me reste
Sur le bar devant moi:
Trois clous et un bouton de veste.
Tu ne me reconnaîtras pas.

La nuit étreint le ciel,
La nuit étreint le ciel.
Allez, mon rossignol,
La vie est belle.




Discographie :

  1. Le bal des oiseaux (1993)

  2. Les ronds de carotte (1995)

  3. Le jour du poisson (1997)

  4. Qu4tre (1999)

  5. Triplex (2001)

  6. Le Cabaret de Montréal (2001)

  7. Pièce montée des grands jours (2003)

  8. la Cigale des grands jours (2004)

  9. le Pavillon des fous (2005)


Bibliographie Internet :

  1. http://membres.lycos.fr/tfersen/

  2. http://www.fersen.free.fr/

  3. http://www.150db.com/fiche-artiste/1007-thomas-fersen.html


Liens :

1. http://www.youtube.com/watch?v=2WecQt2cyBo – « Louise »


Bibliographie de Recherche :

  1. http://www.rfimusique.com/siteen/biographie/biographie_6302.asp

2. http://www.french-music.org/scr_artist.php?artist_id=21899

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