jeudi 27 septembre 2007

Emily Daniels "Pauvre Haiti"

Emily Daniels
Français 104
Le 28 septembre
Pauvre Haïti
J’avais toujours rêvé de faire un voyage à la patrie de mon père, Haïti, dont il parle bien. Finalement, je suis arrivée à Haïti. J’ai passé à la douane facilement parce qu’ il n’y a pas de sécurité dans ce petit aéroport de bois. J’ai eu de la chance parce que le douanier n’a pas fouillé mes valises lorsque je suis sortie de mon pays ni quand je suis arrivée à Haiti. J’avais 250 euros pour ma journée, mais à Haïti, ils utilisent des dollars américains parce que l’économie est très mauvaise et que le gourd haïtien n’a pas de valeur. Après le taux de change, j’avais $347.50, mais j’ai utilisé la plupart de cet argent pour mon billet d’avion.
Mon séjour était amusant parce que je restais à Laboule à la maison de mon oncle qui est très drôle et qui vit de manière plus confortable que la plupart des Haïtiens. Laboule est assez jolie à cause des montagnes, mais il n’y a pas beaucoup d’arbres à cause de la déforestation. Je ne sais pas avec quoi ma tante cuisine, parce que la nouriturre était très bizarre, mais les repas chez mon oncle et ma tante étaient bons. Les choses familières que nous avons mangées étaient du riz, des haricots, et beaucoup de fruits comme des mangues et des ananas.
Parce que mon oncle est riche, sa belle maison était très agréable, mais il m’a montré Porte-Au-Price, la capitale, où il y a beaucoup de gens pauvres qui habitent dans des petites maisons délabrées au cœur de la ville dense. J’ai vu ce que deux sortes des gens font de leur existence habituellement. En marchant dans les rues de terre, j’ai vu beaucoup de gens pauvres qui essayaient de vendre des fruits, des bonbons, et des noix pour gagner un peu d’argent. Je ne sais pas ce dont les Haïtiens ont peur, mais ils se méfient des étrangers, des Américains surtout. Je leur ai donné de l’argent, et ils étaient heureux, mais ils n’ont pas cessé de se méfier de moi. Aussi, il y avait beaucoup de bus et des camionnettes avec plus de quarante gens, et j’en avais peur parce qu’il n’y a pas de règles de circulation à Haïti.
Nous sommes allés à la maison du domestique de mon oncle, Denis, qui était faite de ciment avec un toit en aluminium dans lequel il y avait beaucoup de trous. Comme beaucoup de familles à Haïti, Denis a quatre enfants, et parce que la sienne est pauvre, les jeunes enfants étaient nus. J’ai vu beaucoup de gens pratiquent le voodoo, une sorte de religion très populaire chez les pauvres. Beaucoup de plus riches pratiquent la religion catholique romaind, y compris mon oncle. Près de la maison de Denis, il y a une source d’eau où les gens prennent des bains et trouvent l’eau pour boire. J’étais dépaysée avec les pauvres Haïtiens qui travaillent très dur, et ils n’ont pas d’argent, malgré tout.
Bien que Haïti soit un pays francophone, la plupart des Haïtiens ne parle pas français, mais créole. Les Mulattos, comme mon oncle et toute de ma famille, sont les descendants des Français qui avaient le contrôle du pays de 1698 à 1804, et des Africains que les Français ont transporté en esclavage. Parce que les Mulattos sont une partie de ceux qui avaient le contrôle, ils ont plus d’argent, une meilleure éducation, et ils dominent la société bien qu’ils soient la minorité. Je n’ai pu pas bien communiquer avec beaucoup d’Haïtiens parce que seulement les plus riches avaient reçu une éducation dans laquelle on peut apprendre la langue française. Beaucoup de gens qui parlent créole ne peuvent pas lire ni écrire la langue parce que le gouvernement essaie de les empêcher de faire une révolte. Les politiques sont horribles à Haïti, et c’est facile de voir pourquoi les peuples ont la vie très difficile.
Je me suis amusée pendant ma journée à Haïti, mais j’étais dans un triste état à la pensée de la situaton des pauvres Haïtiens. C’est une chose à laquelle je penserai souvent, et j’essayerai peut-être de les aider. Le voyage m’appris beaucoup sur ce à quoi je tiens.

Aucun commentaire: